Nadeige Imbert Shiatsu et Yin Yoga dans les Landes | Etre heureux, ce n’est pas nécessairement confortable
51372
post-template-default,single,single-post,postid-51372,single-format-video,edgt-core-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,vigor-ver-1.3, vertical_menu_with_scroll,smooth_scroll,wpb-js-composer js-comp-ver-4.4.2,vc_responsive,elementor-default,elementor-kit-51814
 

Etre heureux, ce n’est pas nécessairement confortable

Une vidéo un peu longue (2h05), qui nous parle de toutes les violences subies depuis l’enfance, sans que cela ne nous apparaisse forcément comme une violence. IL nous parle de l’enfer-mement auquel nous mène notre éducation et les constructions mentales qui en découlent.
 
Thomas d’Ansembourg a exercé la profession d’avocat au Barreau de Bruxelles pendant cinq ans et travaillé dans une entreprise internationale comme conseiller juridique pendant dix ans. Parallèlement il s’est engagé, pendant dix ans également, en tant que responsable-animateur bénévole d’une association dans l’aide concrète aux jeunes qui connaissent des problèmes de délinquance, violence, prostitution et dépendances de toutes sortes .
 
Comme avocat il a pu constater que la plupart de nos conflits naissent de malentendus et que ceux-ci résultent souvent d’une combinaison de mal-exprimé (non dit-mal dit) et de mal écouté.
 
A l’écoute des jeunes de la rue, il s’est rendu compte que la plupart de leurs comportements expriment des besoins humains fondamentaux qui n’ont pas trouvé d’autre mode pour se dire : identité, reconnaissance, intégration, appartenance, compréhension, accueil, tendresse, sens,… Ainsi, il lui est apparu que quelque soit la forme de la violence, extériorisée (insultes, agressions, déprédations, vols) ou intériorisée (drogue, alcool, prostitution, dépression), il s‘agit la plupart du temps d’un manque tragique de conscience de ce qui se passe en soi et de vocabulaire pour le formuler avec des mots plutôt qu’avec des coups ou du repli sur soi. Il précisera dans son premier livre : « La violence n’est pas notre nature, mais l’expression de la violation de notre nature »
 
Il se forme à différentes approches psychothérapeutiques, et particulièrement à la méthode de la Communication NonViolente ( CNV) avec son fondateur Marshall Rosenberg (Docteur en psychologie, USA). Devenu en 1994 formateur certifié en Communication NonViolente (membre du réseau international “the Center for Nonviolent Communication”), il enseigne principalement cette approche qu’il appelle le plus souvent : le processus de Conscience NonViolente, nos habitudes de violence subtile étant souvent inconscientes et donc à démanteler d’abord dans notre conscience puis dans nos modes relationnels.
Il participe a différents groupes et formations thérapeutiques et devient en 1994 assistant, puis collaborateur du psychanalyste jungien québécois Guy Corneau (auteur des livres “Père manquant, fils manqué”, “N’y a-t-il pas d’amour heureux”, “La guérison du cœur, nos souffrances ont-elles un sens ?”, « Victime des Autres, Bourreau de soi-même », « Le Meilleur de Soi ») dans le cadre d’ateliers qui permettent d’explorer la relation entretenue avec soi-même, avec les autres (parents, conjoint, enfants, famille, collègues, etc.) et avec la vie.
 
Source : © Thomas d’Asembourg
Visuel bandeau : © Artfly

No Comments

Sorry, the comment form is closed at this time.